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COVID-19

Photo du rédacteur: Maxime AyoubMaxime Ayoub

Dernière mise à jour : 3 janv. 2021



Le SARS, quant à ses impacts sur le corps physique, est très similaire à une forte grippe et il fut, tout d’abord, considéré comme une nouvelle souche de grippe.

Cependant, le SARS – le syndrome respiratoire aigu sévère – est un nouveau pathogène viral qui apparut, soudainement, en Chine, en 2002.



Cette pathologie se caractérise par une fièvre suivie de Symptômes respiratoires et, ultimement, pour certaines personnes infectées, par une insuffisance respiratoire fatale.

Les coronavirus sont des virus enveloppés à ARN de sens positif.

Ils possèdent le plus ample génome de tous les virus à ARN.


Les virus de ce groupe font preuve d’une très haute fréquence de recombinaisons d’ARN et produisent, continuellement, de nouvelles variantes.


Parmi une douzaine de coronavirus, seuls trois peuvent infecter les êtres humains – le SARS étant le plus dangereux.

Le virus se développe, dans le corps, en l’espace de 6 jours environ et, tout comme la grippe, il se répand principalement par le biais de gouttelettes respiratoires infectées – tout en sachant qu’un contact direct avec des sécrétions corporelles peut, également, le transmettre.


Le virus propage des particules dans les fèces et dans les urines, souvent durant plusieurs semaines, et la toilette de personnes sévèrement impactées peut disséminer l’infection. La fièvre, la toux et des difficultés respiratoires constituent les premiers Symptômes de cette pathologie.

Dans de nombreux cas, les Symptômes prévalant sont également: des maux de têtes, une rigidité musculaire, des myalgies, une perte d’appétit, des malaises, des frissons, de la confusion mentale, des étourdissements, des éruptions cutanées, des transpirations nocturnes, des nausées et de la diarrhée.


Le taux de mortalité s’accroit en fonction de l’âge des patients. Ceux en-dessous de 24 ans ne sont pas très susceptibles. Pour ceux âgés de 25 à 44 ans, le taux de mortalité s’élève à 6%. Il est de 15% pour la tranche d’âge de 45 à 64 ans et de plus de 50% pour les personnes au-delà de 65 ans.


Le SARS, à la différence de la grippe, s’attache non pas aux liaisons de l’acide sialique mais à l’enzyme 2 de conversion de l’angiotensine (ECA-2).


Il s’agit d’une protéine membranaire intégrale sur de nombreuses cellules du corps humain – incluant le cœur, les cellules vasculaires et les reins.


Elle est intimement impliquée dans la régulation du système rénine angiotensine (SRA).

Le SRA est intimement impliqué dans la constriction vasculaire et dans l’hémodynamique rénale des électrolytes – considérés, à l’origine, comme ses impacts principaux.


Cependant, le SRA est également crucial pour le fonctionnement de la plupart des organes – incluant les poumons, la rate et les nœuds lymphatiques.

L’ECA-2 convertit l’angiotensine 2 en formes moléculaires moins puissantes.


Parmi d’autres fonctions, l’angiotensine 2 est un puissant vasoconstricteur mais elle est, également, hautement bioactive au sein d’un spectre varié de processus cellulaires. Les virus du SARS s’attachent à la surface des cellules épithéliales des poumons, de la lymphe et de la rate.


Lorsque les récepteurs sur ces cellules épithéliales sont endommagés, il s’ensuit un accroissement de la perméabilité vasculaire, une augmentation des œdèmes pulmonaires, une accumulation neutrophile et une détérioration des fonctions pulmonaires.


Fondamentalement, dès que le virus s’attache à l’ECA-2, la fonction de cet enzyme commence à se détériorer.


Le fonctionnement de l’ECA-2 tend à perdre de son dynamisme au fil de l’âge – ce qui explique que les effets de l’infection par le SARS soient beaucoup plus délétères chez les personnes âgées.


Alors voilà la liste de plantes médicinales pour limitée inhiber voir même bloquer l’attachement du virus aux cellules épithéliales serais de consommer


Le Réglisse (Glycyrrhiza glabra) La Scutellaire Chinoise (Scutellaria baikalensis) La lutéine, le Marronnier d’Inde (Aesculus hippocastanum) Les espèces de Renouées (Polygonum spp.) La Rhubarbe de Chine (Rheum officinale) Et toutes les espèces botaniques riches en procyanidines et en lectines – telle que les Cannelles (Cinnamomum spp.) Et le Sureau (Sambucus nigra)


Autres études réalisé sur le sureau, Ils sont riches en anthocyanosides, flavonoïdes, vitamines et antioxydants. Ils contiennent des substances qui inhibent la neuraminidase, une enzyme utilisée par le virus de la grippe pour pénétrer nos tissus et nos cellules, et donc se développer à notre insu.


La deuxième étape est de prendre une autre espèce de plantes médicinales très puissantes pour régulent positivement et protègent l’expression et l’activité de l’ECA-2 tout en abaissant les niveaux d’angiotensine 2.


Car comme on a vue dans le texte précèdent, Le virus utilisent bel est bien le récepteurs ACE2 D’après les études et recherches scientifiques ils ont découvert que le nouveau virus abrégé COVID-19, utilisent le même récepteurs que l’ancien virus du Sars (Le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère.

SARS-CoV est l'agent infectieux à l'origine de l'épidémie de SRAS de 2003.)

Le Sars-CoV-2 utilise la même porte d'entrée dans les cellules que Sars-CoV, le récepteur ACE2 sur les cellules épithéliales.

La protéine S (pour spike) sur l'enveloppe du virus a une affinité suffisante avec ACE2 pour permettre l'entrée du virus dans la cellule.


À l'intérieur de celle-ci, l'ARN viral est répliqué par une polymérase virale.

Les étapes de transcription et de traduction nécessaires à la formation des protéines sont assurées par la machinerie cellulaire.


Comme vu au début du texte L’ECA-2 convertit l’angiotensine 2 en formes moléculaires moins puissantes.


Dès que le virus s’attache à l’ECA-2, la fonction de cet enzyme commence à se détériorer, et l’entrée du virus est faciliter.


Ces plantes Régulent positivement et protègent l’expression et l’activité de l’ECA-2 tout en abaissant les niveaux d’angiotensine 2.

Le Kudzu (Pueraria montana), La Sauge Chinoise, Danshen (Salvia miltiorrhiza) Et le Ginkgo (Ginkgo biloba)


Ces deux plantes médicinales augmentent la prévalence de l’ECA-2 et aident à protéger les poumons à l’encontre des lésions.


L’Aubépine (Crataegus spp.) Et le Kudzu (Pueraria montana)


Lors de l’infection par le virus du SARS

– tout comme pour la grippe

– les cytokines inflammatoires sont fortement amplifiées.

Principalement les cytokines IFN-γ, CXCL10, IL-1ß, TNF-α, et IL-6

– et cette dernière plus particulièrement.


La MCP-1 et IL-8 sont élevées chez la moitié, environ, des patients infectés.

La voie p38 MAPK est hautement stimulée et, au fil de la progression de l’infection, les niveaux de prostaglandine E2 et de TGF-ß s’accroissent

– avec une élévation subséquente d’IL-2.


Il s’avère très bénéfique de faire baisser les niveaux de TGF

Avec l’Astragale (Astragalus mongholicus). Et l’Angélique Chinoise (Angelica sinensis).


La cytokine TGF-β joue un rôle intégral dans la régulation des réponses immunitaires.

Le TGF-β a des effets pléiotropiques sur l'immunité adaptative, et en particulier dans la régulation des réponses lymphocytaires T CD4+ effectrices et régulatrices.


Au niveau physiologique du virus Les niveaux de HMGB1 sont élevés durant la cascade de cytokines induite par le SARS HMGB1 = Le HMGB1 est une protéine constitutive de la chromatine et qui joue un rôle dans l'inflammation.


Son gène est le HMGB1 situé sur le chromosome 13 humain. Le taux de la protéine est augmenté dans plusieurs maladies inflammatoires,

Polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux disséminé, myosite.


Les niveaux de HMGB1 sont élevés durant la cascade de cytokines induite par le SARS

– plus particulièrement chez les patients sur le point de décéder.


Au cours de l’infection, la cascade de cytokines initie une migration, infiltration et accumulation massives de cellules immunitaires dans les tissus pulmonaires.


Plus l’animal est âgé (humain ou autre), plus grande est la libération de cytokines et plus dangereuses les conséquences.


Il a été découvert que la réduction drastique d’IL-1ß décroit de manière conséquente, l’impact de la maladie chez les personnes infectées et en inhibe la mortalité.


Liste des plantes qui inhibe L’IL-1ß

La Renouée du Japon (Polygonum cuspidatum), Le Sénéga Chinois (Polygala tenuifolia), La Scutellaire Chinoise (Scutellaria baikalensis), Le champignon Cordyceps (Cordyceps Sinensis), Le Kudzu (Pueraria montana) Et l’Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).


Le virus cible spécifiquement les cellules ciliées En les détruisant et en détruisant leur capacité de faire remonter les mucosités afin de les expulser des poumons.


Les plantes médicinales pour protéger nos poumons sont :

Le champignon Cordyceps (Cordyceps Sinensis), L’huile et la feuille de l’Olivier, Le Bident poilu (Bidens pilosa) Et les espèces contenant de la berbérine – telles que la Vinette (Berberis vulgaris), L’Hydraste du Canada (Hydrastis canadensis)

Et de nombreuses espèces de la Famille des Papavéracées, En particulier dans les genres Argemone, Papaver et Escholtzia.


Quand le virus attaque les autoanticorps sont alors produits Et qui commencent à attaquer les cellules-hôtes épithéliales et endothéliales

– ce qui accroit la détérioration des poumons.


Il est ainsi crucial de réduire la réaction auto-immune Avec quelques plantes médicinales comme le (Rhodiole, le Cordyceps et l’Astragale) Et de protéger les cellules endothéliales (Avec la Renouée du Japon).


L’autopsie des personnes décédées révéla

une détérioration alvéolaire sévère des poumons.

Elle révéla, également, une destruction massive des nodes lymphatiques dans les poumons,

Une nécrose sévère dans la pulpe blanche et le sinus marginal de la rate,

Une destruction des centres germinatifs de la lymphe,

Une apoptosis des lymphocytes et une infiltration des cellules monocytiques.

La protection de la rate et de la lymphe s’avère cruciale

Plusieurs plantes médicinales peuvent traiter le déséquilibre de plusieurs facteurs physiologique et anatomique vis a vis l’intégration d’un virus au sein de l’organisme.

– avec la Scutellaire Chinoise (Scutellaria baikalensis), – le Céanothe d’Amérique (Ceanothus Americanus), – le Raisin d’Amérique (Phytolacca americana).


Le SARS se multiplie, principalement, dans les cellules ciliées épithéliales mais, également, dans les cellules dendritiques infectées, à la fois matures et immatures.

Les cellules dendritiques existent, abondamment, juste en-dessous des couches épithéliales dans les tissus pulmonaires.

Le déclenchement de cytokines rend l’endothélium beaucoup plus poreux – ce qui permet au virus de pénétrer dans les cellules dendritiques et de les infecter.

Il ne les tue pas mais il les empêche, simplement, de stimuler une réponse immunitaire adéquate efficace.

Le virus active très puissamment les IL-6 et IL-8 dans les cellules épithéliales.

Ces cytokines particulières se concentrent autour des cellules dendritiques immatures et inhibent, fortement, leur maturation.

En retour, cela induit une inhibition de la capacité des cellules dendritiques matures de déclencher la production de lymphocytes T actifs

– ce qui permet au virus de pénétrer dans les organes lymphatiques des poumons et de les léser sévèrement.


Plantes médicinales pour la stimulation de la maturation des cellules dendritiques

(Avec le Cordyceps) champignon médicinal a large spectre

Et l’accroissement de la quantité de lymphocytes T

(Avec le Réglisse,

Le Céanothe d’Amérique,

Le Sureau

Et le zinc)

Permet de réduire le tableau symptomatique et la sévérité de la pathologie.

Les espèces botaniques démontrées,

Spécifiquement, active à l’encontre du SARS,

Sont les Réglisse (Glycyrrhiza spp.),

La Scutellaire Chinoise (Scutellaria baikalensis),

Le Poivre de Chine (Houttuynia cordata),

Le Pastel des Teinturiers (Isatis tinctoria),

Le Forsythia de Chine (Forsythia suspensa)

Et le Sophora (Sophora flavescens).

Je conseillerais d’avoir recours au même protocole de plantes médicinales que pour la grippe, présenté ci-avant, avec deux exceptions.

Comme la Sauge de Chine (Salvia miltiorrhiza) est à ce point spécifique pour ce virus et de par le fait que les protéines HMGB1 sont, généralement, présentes, je conseillerais d’utiliser une des formulations HMGB1 (présentées ci-avant) dès le tout premier jour de l’infection.

De par le fait que le Kudzu (Pueraria montana) est spécifique à ce virus, je l’ajouterais, donc, aux formulations HMGB1.

Autres Espèces Botaniques anti-SARS


Les autres espèces botaniques qui ont été prouvées efficaces à l’encontre du SARS sont les suivantes:

Artemisia annua

Cassia tora

Cibotium barometz

Dioscorea batatas

Eucalyptus spp.

Gentiana scabra

Lindera aggregata

Lonicera japonica

Lycoris radiata (les extraits de tiges sont extrêmement puissants)

Panax ginseng

Polygonum cuspidatum

Polygonum multiflorum

Pyrrosia lingua

Rheum officinale

Taxillus chinensis.



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